Une agence, leader dans le monde de l’investigation dans le commerce de l’art, vient de faire la publication de son compte rendu de l’année concernant le commerce de l’art ; une déclaration fondée exclusivement sur les ventes collectives effectuées durant les enchères partout dans le monde.
Pour un renforcement du marché
Ça fait maintenant 20 années minimum afin que les ouvrages d’artistes contemporains en Afrique trouvent leur place dans les rites d’achat des collectionneurs. En ce moment donc, on vit l’une des ères les plus scintillantes dans le domaine de l’art africain contemporain. C’est alors une nouvelle époque pour l'œuvre africaine, qui n’a jamais connu la popularité. La hausse des coûts suite à la cession publique d'œuvres provenant de la collection Jean Pigozzi faite partie des preuves les plus tangibles. Cette vente spéciale qui inclue une soixantaine d’artistes, venant de 16 pays africains, fut présentée par Sotheby’s. Ce qui donne la possibilité de placer l’art contemporain africain en tête de rang. Une conséquence qui démontre l’augmentation des intérêts, pour cet art autrefois oublié.
Tendances et perspectives 2019
En outre, il paraît que dans cet art, on a transformé la donne 2 années auparavant. C’était au moment de l'inauguration d'un institut d’art contemporain africain et moderne par Sotheby’s. En particulier, la société a conservé une soixantaine de records ou plus aux enchères pour les artistes africains, à l’aide de plusieurs réunions. Quand bien même, il serait inadéquat de montrer cette admiration telle une tendance absolue. Sachons que la force marchande de l’art africain contemporain va dorénavant au-delà des attentes. Aussi, ces exploits paraissent être le résultat du positionnement de choix donné récemment aux Africains dans les dernières expositions d’art contemporain. Mais également, de la préparation des conférences ainsi que des foires consacrées à la production africaine aux 4 coins du monde, et l’Afrique en fait partie.
Les collectionneurs adorent l’art africain
En s'appuyant sur les remarques réalisées à Paris et à Londres, les spécialistes tombent d’accord sur un sujet. En effet, lorsqu’il s’agit d’art africain, les collectionneurs seraient prêts à payer très cher. De plus, il paraît que le prochain eldorado pour l’art africain serait les Etats-Unis car les collectionneurs américains seraient en pleine agitation envers l’art africain. Cependant, ce sera aux Etats-Unis que le prochain lieu où l’art africain devrait exploser. Comme il existe de nombreuses décennies, les ouvrages d’artistes africains semblent n’avoir aucun intérêt, mais de nos jours, c’est le boom. Autant pour les œuvres de Sotheby’s, que pour les coûts sur le commerce. Ce qui signifie que les coûts ont pratiquement été redoublés.